« D’une industrie essentiellement axée sur la production de nouveautés, appelées à constituer les fonds de catalogue de demain, l’industrie de la musique risque fort de se transformer de plus en plus en machine à exploiter des standards dont la production a déjà été largement amortie et à resservir essentiellement des plats réchauffés. »
Encore une analyse fort pertinente de Philippe Astor > La main mise croissante des fonds d’investissement sur les actifs de la musique n’est pas très bon signe.